La bataille de l'esclave

10 Atrefeu, 2e an 155

Je viens de reçevoir la missive tant attendue par notre peuple. Après le renversement du gouvernement impérial d'Elsweyr, le nouveau Mane Arhoun'Razim se décide sans attendre à libérer nos frères prisonniers et esclaves dans la plupart des pays de Tamriel. Le moine du Mane à réussi à intercepter une missive de l'empire prévoyant l'invocation d'un puissant seigneur afin de reconquérir sa puissance définitivement révolue à nos yeux. Nous n'en savons pas plus, mais Arhoun'Razim soupçonne l'empire de forcer les esclaves à batir, à forger, et donner leurs vies afin de permettre aux impériaux d'assouvir leur domination. A notre grande surprise, Alinor nous soutien et nous fournira homme et matériels quand le temps de la guerre sera venu. Mais pour l'instant, l'heure est à l'extradition de nos bien aimés frères dont l'existence est menacer. Le temps est venu de libérer mon peuple!

11 Atrefeu, 2e an 155

Comme je l'espérais, l'attaque prévue sur les territoires impériaux sont reportées, faute de moyens et de préparation. De plus nos espions nous ont affirmé le mouvement de certaines troupes rougeguardes vers la queue de dragon, ainsi que l'émigration de beaucoup d'elfes noirs vers bordeciel. Le présage d'une guerre se fait sentir, et l'empire en est la proie. Tout cela est plus que je ne l'espérais.

12 Atrefeu, 2e an 155

Ra'Jhan est venu me voir aujourd'hui, entièrement équipé. Notre groupe viens de recevoir les ordres du Mane en personne. Il nous demande d'entrer discrètement en Cyrodiil et de profiter de l'état actuel du gouvernement pour libérer le maximum de nos frères. La tâche étant clairement désespérée, Sannoh'Jo va avoir besoin de mes talents. Je dois me préparer, ce soir nous partons, et nous voyagerons de nuit.

25 Atrefeu, 2e an 155

Nous sommes partis entre Khajiit. Cette fois c'est personnel. Nous avons mis plusieurs jours pour faire le trajet jusqu'à Torval. Un passeur Bréton nous conduira jusqu'à Leyawiin. Malgré l'impatiente que je ressent à libérer nos frères, je ne suis pas très heureux à l'idée de retourner en Cyrodiil.

03 Soufflegivre, 2e an 155

Nous entrons dans la mer de Topal. Le passeur refuse d'aller plus loin avec nous à son bord. Nous allons devoir nager jusqu'à la côte. Nous avons besoin d'installer un campement proche de la rive. J'ai conseillé à Sannoh'Jo une grotte, les frontières de l'empire étant hardement surveillées, surtout du coté d'Elsweyr et du marais noir. L'impatiente me gagne déjà.

05 Soufflegivre, 2e an 155

Nous avons trouvé, à défault d'une grotte, un renfoncement dans une paroie rocheuse, tourné vers la mer. Nous y avons installé notre barda, et avons commencés les préparatifs. Le premier objectif est de libérer la prison de Leyawiin. Nous n'avons pas besoin d'être plus de deux pour cette mission, car nous allons user de discrétion absolue. Heureusement, un Impérial du nom de Ventus Prada habitant de Leyawiin, fait aussi parti de la guilde des voleurs. Il va nous faire passer par un égout de la ville. Pour cette fois, c'est Reenart et Sannoh'Jo qui s'y collent. Litojo, Ra'Jhan et moi restons à observer et préparons une diversion, au cas où...

06 Soufflegivre, 2e an 155

Sannoh'Jo et Reenart sont revenus. Apparement tout s'est bien passé, sauf qu'aucun de nos frères n'étaient dans la prison, seulement un Argonien du nom de Twum Leik. Celui-ci nous à révélé qu'il était en attente de son transfert. Selon lui les esclaves sont envoyés à un endroit inconnu dans Cyrodiil d'où ils ne ressortent jamais. Ventus Prada à découvert un papier, apparement la candidature d'un garde pour un poste d'élite pénitenciaire. Il a donc décidé de nous aider dans notre tâche, en échange d'un poste de marchand à Torval. L'Argonien nous suit aussi, il s'était fait capturé exprêt afin de retrouver son frère, nos quêtes se croisent. Nous allons trafiquer la candidature pour y mettre Ventus, cela peut-être un bon point d'entrée.

10 Soufflegivre, 2e an 155

Le messager est revenu et à donné à Ventus un formulaire lui donnant rendez-vous à la cité impériale pour un entretient. Nous allons croiser les griffes pour lui et continuer la route vers le nord. Nous plions bagage en ce moment.

11 Soufflegivre, 2e an 155

Nous avons entamé la route et avons croisé une troupe d'une dizaine de gardes impériaux, nous avons alors sautés dans les fourrés. Ra'Jhan s'et proposé de leur foncer dedans, j'ai alors envoyé Reenart en discrétion, voir si il pouvait voler leurs armes, ce qu'il fit. Sannoh'Jo à sortis son arc, Ra'Jahn et Litojo ont foncés dans le tas après que je leur ait envoyé un sort de tremblement de roche qui les envoya par terre. Nous avons fait trois prisonniers.

12 Soufflegivre, 2e an 155

Nous avons installé notre nouveau campement près de la statue de Shéogorath, vers Bravil. Pendant que les autres attachaient les prisonniers et préparaient le campement, j'en ai profité pour faire un tour discret vers le port de Bravil. La bas mes présemptions se sont confirmés: les bateaux d'esclaves qu'envoie l'empire depuis quelque temps accostent à Anvil, mais une partie des esclaves (les plus vigoureux) reprennent un bateau en départ de Bravil. Pourquoi? J'ai une petite idée sur le sujet: les impériaux cherchent quelque chose. Et si ils envoient leurs meilleure main d'oeuvre hors de Cyrodiil, ce n'est surement pas pour extraire de la roche ou servir les dignitaires. Il se trame quelque chose, mais la priorité reste de retrouver nos frères. Je retourne au camp, j'ai hate de savoir ce que Reenart nous à préparé pour le repas.

13 Soufflegivre, 2e an 155

Deux des prisonniers se sont échappés! Reenart à tué le dernier en essayant de le faire parler, bien que je n'ai pas le souvenir de l'avoir entendu poser une question... Pour l'heure ils vont forcemment envoyer une troupe nous capturer. Nous allons déplacer le campement, pendant ce temps je décide de laisser quelques affaires pour faire un faux campement, et piéger l'endroit. Je reste donc avec Litojo pour piéger l'endroit. Nous allons verser un bain d'huile Dwemer, et laisser une lampe très en hauteur sur un arbre, et le mécanisme relié à l'ouverture d'une Yourte. Je vais aussi poser quelques pièges de feu dans les fourrés autour du camp pour couper leur fuite. Puis nous allons nous planquer sur le seul chemin de repli possible. Que nocturne nous aide.

13 Soufflegivre, 2e an 155

Tout s'est déroulé comme prévu. Une forte troupe armée, d'une quinzaine d'homme, sont arrivés au camp et se sont mis à chercher des indices sur notre fuite. En ouvrant la yourte, cinq sont morts dans les flammes, quatres autres dans les runes de feu. Les derniers sont arrivé vers notre lieu d'embuscade , Litojo en sortant du buis à asséné un coup d'une puissance inouie, en upercute au capitaine de la garde, qui le fit volé à l'autre bout du camp, litéralement par dessus ses congénères, j'en tuait trois assez facilement, en tourbillonant avec mes deux lames, puis j'ai bondit dans les air et ai attéri sur un quatrième ma lame planté dans ses poumons depuis le ciel. Le dernier tenta de s'enfuir, mais Litojo eu le temps de sortir son arc et de lui planter une flèche entre les épaules. J'allais lui couper la tête pour en finir. Une journée... ensoleillée!

14 Soufflegivre, 2e an 155

Du haut de notre colline, nous pouvons voir les troupes impériales rapatrier leurs cadavres. Nous sommes maintenant recherchés. Nous n'avons toujours aucune nouvelles de Ventus. Twum Leik nous a donné l'emplacement d'un fort où les prisonniers sont transférés à Bravil, cela semble une bonne piste, ainsi je décidait d'aller l'explorer. J'emmène L'Argonien, et Reenart, on ne sait jamais.

15 Soufflegivre, 2e an 155

Nous sommes arrivés à fort Entius. Après un repérage, nous n'avons pas vu de gardes, ce qui me parrait fort curieux pour un lieu de transit impérial. Nous décidons d'entrer discrètement par une brèche dans la muraille. Nous entrons dans le fort, toujours pas l'ombre d'un garde. Nous fouillons toutes les pièces et rien. Je demande alors à Twum Leik, qui ne comprends pas plus que moi. Arrivant dans une grande salle en cercle, je m'apperçoit que l'Argonien a disparu. Soudain, dénormes grilles tombent de tout les cotés, nous enfermant Reenart et moi. Puis je réalise que tout ceci n'était qu'un piège! En un instant nous étions entourés d'impériaux. L'un d'eux s'avance vers moi et se présente comme le général Pagus Fabius. Quel traitre d'Argonien, pactiser avec l'empire pour nous avoir, sans doute qu'il nous a négicier pour la libération de son frère. Si il connaissait les impériaux aussi bien que moi, il saurait que son frère est probablement déjà mort. Le général nous dit alors que Sannoh'Jo, Litojo et Ra'Jhan sont capturés, et qu'on se revérait sur le site d'esclave de Vvardenfell. Nous avons notre réponse, mais trop tard...

16 Soufflegivre, 2e an 155

Nous sommes convoyés par une troupe d'élite impériale en route pour Bravil. Nous sommes partis de nuit et je ne supporte pas la vision de ce porc impérial devant moi, qui se délecte avec sourire de mes affaires! Il a mis un de mes sabres à la ceinture, quel sacrilège de voir ce travail d'exeption unique entre les mains d'un pleutre si répugnant! Soudain un calme se fit entendre, la troupe viens de stopper, je me demande pourquoi. En un éclair, deux des gardes tombent à coté de moi, morts. On entends qu'un sifflement de flèches, et en un instant il ne reste que le garde puant devant moi, tenant mon sabre, les jambes flagolantes. D'un coup une dague se plante à travers lui, et en tombant doucement il laisse apparaitre le visage de son assassin: une femelle d'une beauté déconcertante, nommée Rhun'Agath. Elle défit nos liens, en nous expliquant que calà fait plusieurs jour qu'elle nous suit, avec ses frères de la confrérie noire. Ils ont eu vent de notre mission et souhaitent nous aider le temps pour eux de déplacer discrètement la mère de la nuit en Morrowind. Une aide réciproque que je partage volontiers avec pareil enchanteresse..

17 Soufflegivre, 2e an 155

Tout au camp est sans dessus dessous, on découvre les marques d'une belle bataille. Un des assassins ayant assisté à l'action, nous dit que les notres étaient largement dominants, mais que les impériaux les ont forcés à se rendre car ils avaient sous la main un atout, Ventus Prada. Je comprends mieux pourquoi mes frères se sont rendus. Reenart me fait voir un petit bosquet un peu plus loin, sur lequel gisait Ventus, la gorge ouverte. Ces impériaux sont décidement des lâches, mais il n'y a rien à craindre pour nos frères à l'instant, les esclaves doivent être  livrés en bonne santé. Rhun'Agath à affrêté un bateau privé de la confrérie pour le transport du cerceuil. Nous partons demain.

18 Soufflegivre, 2e an 155

Nous somme en partance pour l'île de Vvardenfell. Rhun'Agath et l'un de ses acolytes, un dunmer nommé Asfaloth vont nous prêter main forte dans notre quête, pendant que leurs congénères installent le nouveau sanctuaire de la main noire. Ensemble nous retrouvont nos frères, ensemble nous les libererons!