A travers Tamriel final

La porte du sanctuaire d'Havenheim était bien complexe, mais j'ai réussi à l'ouvrir au bout d'un moment. Quand nous somme entré, nous avons eu la plus grande des surprises. Havenheim était mort à terre, Azran également. J'ai compris d'un coup Que Farel nous avait trahis, et qu'il n'était surement pas loin. Lehnir et moi sommes partis à sa poursuite à travers le marais noir.

Nous l'avons rattrapé àpres deux heures de traque, au beau milieu de marécages. Lenhir le tenait en ligne de mire, et nous lui avons demandé des explications. Farel nous répondit qu'il était en quête de puissance, et que le livre de la non-vie ne devait en aucun cas être livré aux Elfes, que selon lui Farel était le seul à en être digne. Il posa le livre ouvert à terre, il bu une décoction quelquonque et s'entailla la main. Puis il nous attaqua avec un éclair de foudre. Lehnir et moi avons ésquivé, puis je servit d'appa en tentant de m'approcher de Farel. Pendant ce temps Lenhir empoigna son arc et avec précision tira une flèche dans l'épaule de Farel, qui tomba à genoux. Il eu cependant le temps de lancer une tempête de feu sur Lehnir qui l'envoya contre un arbre et signa son arrêt de mort. Malheureusement pour Farel, sa dernière action me laissa largement le temps de lui assigner un coup mortel à la gueorge avec mes griffes. Farel tomba mort dans le marais. Je regardait le corps de Lenhir et lui rendait hommage, tandit que le feu déguagé par le mage precedemment commençait à enflamer toute la fôret. Je rammassais le livre de la non-vie et le mis dans mon sac. Puis j'allais reprendre la route.

A peine avais-fait cinq mètres, et l'étendue d'eau du marais ou est mort Farel se mit à bouilloner, et Farel se releva, complètement transformé en liche! Je remis mon sac à terre et sorti mes lames. Un sacré combat, entouré d'un marais en feu, allait commencer. Très vite La liche me lanca une pluie de stalactites. Je les évitait un par un en m'approchant de lui, puis je bondis sur lui. Farel déclencha alors une onde de force qui me projetta en retrait. Je vit son bâton de foudre s'éclairer, alors je me mis à courrir autour de lui entre les arbres pour les éviter. Les éclairs m'ont touché à plusieurs reprise mais rien de grave. Je m'était planqué dèrriere un arbre. Puis je sortis ma dague et la laca dans le dos de Farel, qui se retourna brusquement pour l'éviter. Entre-temps j'avais déjà fait le tour et bondit sur lui à nouveau. Malheureusement il avait préparé son coup et me donna un coup de griffes empoisonnées, propre aux liches. J'alla m'écraser par terre, puis la liche pris son bâton et donna un coup de toutes ses forces sur mon torse, et déclencha ainsi un éclair puissant. Il me mis ensuite un grand coup de pied en rigolant qui alla me projetter contre un arbre en feu, qui s'éccrasa par la suite sur moi. Farel riait, se sentant plus puissant que tout. Je l'entendait sous les flammes, mais je ne m'avouais pas vaincu. J'était au bord de la mort. J'avais déjà gouté cette sensation auparavant, cette impression que tout tourne au ralenti, cette respiration qui se dégage de tout ce qui m'entoure. Je devait tuer mon ennemi en un coup, sinon c'était la mort assurée. J'avais perdu mes sabres, mais je sentais qu'il y en avait un sous les braises à coté de moi. Je le ramassa au travers du feu. Sa lame était rouge de chaleur, et le manche me brullait la main. Je me mis en position, le sabre en retrait. Cela rendit Farel fou de rage de me voir me relever. Il lacha son bâton et fonça sur moi. Il allait très vite, mais j'eu dix fois le temps de le voir venir. Je serrait ma lame et lui envoya à travers le corps un coup brulant qui le découppa en deux aussi net, et brisa ma lame. Le haut du corp de Farel gémissait, me maudissant, et je fit élater son crâne d'un coup de pied pour l'achever.

Sortir de la foret en feu n'était pas chose aisée. Je réussi quand même, il ne me restait qu'une lame, ma lame unique Akavir. Je pris une barque, dans un sale état, et je commençait à ramer pour quitter le marais noir. Cette quête avait couté bien des vies, et Elsweyr était entré en guerre pendant mon absence. Je n'avais aucune chance de retrouver ce moine pour qu'il me paie. Je me souvint alors d'un chevalier Impérial que j'avais aidé par accident dans le passé, et qui résidait à Leyawiin. Je fit alors un crochet, et remis le livre de la mort-vie à Endius Benirus, qui promit de veiller dessus ausii longtemps que sa famille le pourra.

Il était temps pour moi de rentrer en Elsweyr, à Corynth, et de me préparer à la guerre contre l'Empire...