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La caravane d'Elsweyr
6 décembre 2012

L'histoire d'Aza'Roth dit "le fléau de Tamriel"

Au sein de Corinth naquit Aza'Roth, un Khajiit particulier qui dès sa naissance fut jugé trop chétif pour devenir combattant, son avenir étant ainsi décidé dans la préparation des tissus et des bijoux pour la caravane de son père. Son père était en ce temps marchand itinérant ayant déjà parcouru l'ensemble de Tamriel plusieurs fois.

Hélas, l'enfant naquis au mauvais moment, la guerre faisant rage depuis plusieurs années entre les tribus, et les Aldmers n'arangeant rien vivant pleinement leur soif de suprémassie au frontières du pays après avoir écrasé les Elfes Sylvains. Le père d'Aza'Roth parti alors d'Elsweyr pour cacher son fils de la guerre et éssaya de trouver refuge en pays nordique ou il pouvait jouir de l'amitié du Jarl de Morthal.

Malheureusement il fut tué rattrapé par des mecenaires impériaux engagés par le Mane pour avoir déserté. Le père eu cependant le temps de déposer son enfant sur le seuil de la porte d'un mage de Daggerfall nommé Zorias.

Zorias pris immédiatement le jeune Khajiit sous son aile comme si il eu été son propre enfant. Très vite un talent inné se révela chez Aza'Roth, il maîtrisait sans même apprendre et d'une rapidité alarmante l'art de l'enchantement, et possédait un intérêt tout particulier pour le forgeage des armes. Zorias entrepris alors de conduire son fils adoptif à l'académie de Fortdhiver en bordeciel car à l'époque la haine des Brétons pour le domaine Aldmeri était à son appogée, ainsi il était impossible pour lui de faire ses classes. 

A l'academie il pu étudier l'enchantement dans ses moindres secrets, formé par l'archimage nommé Dunlain, et pris très vite le pas sur ses professeurs en peu de temps, si bien que le peuple nordique, alimenté en armes par Gund le fort et sa forgeciel, commandaient sans cesse les enchantements d'Aza'Roth, de loin les meilleurs enchantements de Bordeciel.

 

Ensuite Aza'Roth rentra à Daggerfall ou il fut initié par le maître d'armes Olag-Braz-Orgul aux techniques de combat orc et au forgeage.

Dès lors Aza'Roth entreprit un "voyage de retour" afin de découvrir sa terre natale: Elsweyr. Il y fut engagé en tant que forgeron et enchanteur du nouveau Mane et vecu une vie paisible pendant plusieurs années.

Puis de nouveaux temps de guerre éclatèrent, laissant place à de puissant guerriers venus de l'enclume qui s'instalèrent en Elsweyr pour défendre le Mane contre l'invasion Aldmer. Aza'Roth fut jugé trop fébrile pour la guerre une fois de plus et fut écarté à la forge. C'est alors que le jeune Khajiit décida que s'en était assez. Il partit d'Elsweyr dans le but de forger une épée.


Aza'Roth n'était pas stupide, il savait que même si il était très vif et qu'il savait frapper au bon endroit, sa faible force le compromettrait toujours. Il chercha alors à forger la plus puissante des lames de Tamriel. Il se rendit dans toutes les provinces possibles allant même jusqu'à chercher le seul argonien forgeron planqué aux tréfonds du marais noir, mais il n'apprenait rien de nouveau. C'est à Affkang, une ancienne ruine naine situé dans les fôrets coloviennes de l'empire, qu'il fut une curieuse rencontre.

Aza'Roth était entré par hasard dans ces ruines pour y chercher du métal dwemer, et toutes les créatures mécaniques était déjà mortes ce qui fut un coup de chance pour le jeune guerrier chétif. Dans la troisième salle se trouvait.... un nain!

 

 

Après un court silence et surpris de voir quelqu'un dans sa ruine, le petit guerrier rétorqua à Aza'Roth qu'il n'était pas un nain mais un orc, née petit et laissé pour compte car il ressemblait à un gobelin. Il avoua que lui aussi cherchait de nouvelles techniques de forgeage mais n'était pas parvenu à grand chose, à part un livre dwemer évoquant le moyen de forger une lame mécanique à partir d'une lame déjà éxistente. Malheureusement, le procédé ne fonctionne qu'avec des lames d'exellente qualité composés uniquement de vif-argent, en d'autre terme il leur fallait une lame unique Akavir.

Aza'Roth et son nouveau compagnon Barak-Gro-Burzul aussi surnommé "le gobelin", étant tous deux forgerons, savait parfaitement ou trouver une lame Akavir mais aucune idée de l'emplacement d'armes de vif-argent. Il prirent la route pour le temple des nuages à Cyrodil pour se renseigner. Il découvrirent que deux lames de vif-argent perdus sont évoqués dans de vieux récits Akavir, l'une d'elle planquée par un roi Akavir lors de sa défaite contre les dragons de bordeciel, remontant à l'ère première lors de la guerre draconnique. Aucun indice là dessus. L'autre était en posséssion d'un puissant guerrier-mage de la seconde ère, mais rien n'indiquait qu'elle était perdue. Aza'Roth en conclus alors qu'elle devait toujours être entérée avec le mage. Ils prirent donc la route pour morrowind et se rendirent dans la crypte en question. Cela dit la tâche fut ardue, car il fallut se rendre dans une vielle caverne du mont écarlate longue de plusieurs kilomètres et remplie de monstres dédriques en tous genres. Quand enfin ils trouverent la tombe du mage et prirent son épée de ses doigts glacés, le mage revint d'entre les morts et attaqua violament. Ce fut le dernier combat du "gobelin" qui fut tué d'un éclair fulgurant, mais c'est ce qui fit l'opportunité pour Aza'Roth de porter un coup direct à la trachée du mort-vivant, le renvoyant dans sa tombe pour de bon.

Aza'Roth n'avait jamais contemplé une lame si parfaite, si droite, si tranchante et légère. Il venait de tuer en un coup un puissant mage d'une autre époque, un défi que peu pourrait relever. Mais ça ne lui suffisait pas. Il prit sur le cadavre du "gobelin" son carnet de note relative aux experience de forge dwemers et rentrit chez lui, à Corinth pour étudier. Plus personne ne le vit pendant deux années, les habitants entendaient seulement des coups de marteaux provenant du désert. Mais Aza'Roth arriva à ses fins.

Il réussit un exploit que personne n'avait jamais réussi. Cela avait demandé des mois de forgeage et d'enchantement mais il avait crée la lame parfaite, une lame de vif-argent akavir mécanisée. Peu importe langle avec lequel on frappe, la lame s'inclinait et retravaillait constament la meilleure courbure pour un tranchant constant sans pareil, que l'on soit petit ou grand, fort ou pas, cette lame compensait toutes les lacunes.

Quand Aza'Roth annonca son exploit, personne ne le pris au sérieux. Tout ceux qu'il défiait refusait le combat de peur de tuer Aza'Roth sans le faire exprès. Aza'Roth s'engagea alors comme gladiateur. Il tuais ses énnemis si rapidement et avec tant d'aisance qu'il devint champion rapidement, puis il rejoingnit l'armée du Mane et obtint un grade de général. L'effet était à présent inversé, plus personne ne voulait combattre Aza'Roth de peur de mourir de sa lame.

Aza'Roth devint rapidement assoiffé de sang, comme si il se vengeait de sa condition sur le monde. Il voyagea, tuant d'abord ceux qui le regardait plus de trois secondes, puis tout ceux qui portait une arme, puis tout ceux autour de lui, et ce dans tellement de régions que tout Tamriel voulut sa mort. Il fut déclaré ennemi des peuples et fut chassé par d'innombrable mercennaires, guerriers, même le chevalier du dragon impérial se lancit à sa poursuite. Aza'Roth les tua tous, sous l'emprise de sa folie meurtrière. Tous y passèrent si bien qu'au bout d'un temps il fut considéré comme un fléau. Il avait mis à mal les guildes de mages et de guerriers, les chevaliers de Cyrodil et même la confrérie noire, si bien que tous l'évitait avec grand soin, à tel point que les peuples quittaient les villes à son approche. Cela dit, aucun dessein de domination du monde ne motivait Aza'Roth, il était juste atteint d'une folie meurtrière et dévastatrice, qui ne s'arrêtta jamais.

 

Il fallut attendre quasiment dix années, avant qu'un homme ne puisse l'arrêter. Le mage Bréton Yotundar, doyen de l'ordre des Psijites, pris le fléau Aza'Roth au sérieux immédiatement. Il envoya ses mages répendre la rumeur d'un dieu vivant se térrant dans le sous-sol d'un fort Akavir au delà du passage du col-clair à Cyrodil. Il ne fallut que peu de temps pour qu'Aza'Roth s'intéresse au fait de térrasser un dieu et se rende sur les lieux.

 

 

Yotundar était déjà dans le fort depuis des jours afin de préparer un piège visant à détruire le fort pour piéger le fléau dans les catacombes à jamais. Mais Yotundar à eu une faiblesse, il ne pouvait s'empêcher de penser à la gloire que lui vouerait le monde si il défiait Aza'Roth en combat et qu'il le battait. Alors le mage attendit dans la grande salle du sous-sol oû les femmes et les enfants Akavirois se cachait en temps de guerre. Il fut surpris par son adversaire qui était arrivé discrètement dans son dos et qui lui a vallut une belle entaille sur le visage, alors que la lame d'Aza'Roth l'avait à peine éffleuré.

Yotundar comprenant le danger lui à envoyé tout ce qu'il avait, mais la petite stature d'Aza'Roth le rendait agile, et il réussi à esquiver sans mal les sorts du mage.Yotundar n'eu qu'une demi-seconde d'innatention, ce qui permis à Aza'Roth se planter sa lame dans le ventre de Yotundar, ce qui fit chuter le Psijite au sol, incappable de bouger un muscle. Aza'Roth était debout sur son adversaire, le sourir aux lèvres, méprisant la faiblesse du plus puissant ennemi qu'il avait combattu à ce jour. Mais Yotundar n'était pas stupide, et il avait quand même préparé le piège au cas où. Il lui suffit d'une simple boule de feu sur un pillier, et la structure s'éffondra sur le fléau en un instant et par un éffort surhumain et avec beaucoup de chance permis au mage de s'échapper par un tunnel qu'il avait repéré peu avant.

 

Yotundar eu le temps d'écrire l'histoire sur un unique livre ensuite enfermé dans la bibliothèque des Psijites, afin que seul les esprits les plus éclairés puissent le lire.

Il mourrut peu-après, car après un coup porté par lépée d'Aza'Roth la blessure ne se referme jamais. Il n'a jamais dévoilé à quiquonque l'emplacement du tombeau d'Aza'Roth, ni l'endroit ou il à caché l'épée donnant à celui qui la porte une puissance encore trop féroce pour les hommes.

Ainsi vécu Aza'Roth, le fléau de Tamriel.

 

 

 

 

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Commentaires
R
Je vous encourage d'ailleurs si vous êtes créateurs à reprendre mes histoire, et m'en fournir de nouvelles. la caravane n'est pas la voie d'un Khajiit, mais la voie de tous.
R
Comme je disait à Asmo, à votre place je serais heureux qu'une histoire qu'il à écrite fasse le tour des blogs.<br /> <br /> <br /> <br /> Si Asmo préfère que je l'enlève, pas de problème, mais je trouverais ça contre-productif, et en contradiction avec la liberté d'expression qui m’autorise à raconter une histoire que j'ai lu à qui je veux. Sans compter que je n'ai pas prétendu un instant en être l'auteur. <br /> <br /> <br /> <br /> L’intelligence consiste à rapprocher les Khajiits et non à les maintenir séparés. Tu devrais lire la "dent du tigre" et "le grand livre de guerre tribal" pour mieux comprendre à quoi sert l'unification.
G
C'est bien écrit, alors pourquoi avoir repiqué l'histoire d'Asmod'hai sur ce site : http://theelderscrolls.fr/threads/pr%C3%A9sentation-de-asmodhai-mane-delsweyr.2560/ ?<br /> <br /> <br /> <br /> Voler fais certes partie de la culture Kahjiit, mais la Ta'Agra fécilite, à mon avis, l'intelligence.
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